Nous pouvons grandement remercier Saint Fiacre (patron des jardiniers) d’avoir ratissé si méticuleusement tous les nuages matinaux du ciel vers l’horizon sud.
Il est toujours agréable de voir arriver en quelques dizaines de minutes, un flux de curieux ou mélomanes, satisfaire leur oreilles auprès, cette fois ci, de Laura Perrudin (il me semblait qu’elle guidait sa harpe comme un être sachant parler à l’oreille d’un cheval.)
Le soleil a chauffé l’air, la musique à su chauffer les cœurs, et le temps c’est arrêté pour quelques instants.